DEA ATEG /  Option "Modélisation"

ANALYSE SPATIALE DES PHENOMENES SOCIAUX

Claude GRASLAND
Université Paris VII / UMR Géographie-cités
(Octobre 2001)

PAGE D'ACCUEIL
" Le fait de disposer d'un outil bien intégré dans la théorie statistique ou dans la théorie de l'information est intéressant par les perspectives de traitement qu'il ouvre ; mais cela n'a rien à voir avec son aptitude à exprimer le phénomène étudié ; il n'est donc pas nécessairement un outil meilleur."
Béguin H., 1979, Méthodes d'analyse géographique quantitative, Paris, Litec

COURS

Ne sont indiquées ici que certaines chapitres de cours dispensés par C. Grasland dans l'option modélisation du DEA ATEG. D'autres aspects de la modélisation en géographie et de l'analyse spatiale sont présentés par L. Sanders (CNRS) , F. Guérin-Pace (INED)  et G. Beltrando (Univ. Paris 7). Le programme de l'option modélisation du DEA ATEG varie d'ailleurs d'une année sur l'autre en fonction des capacités des étudiants, de leurs attentes, des opportunités de placement dans des organismes d'étude, etc.

On notera enfin que, faute de temps, tous les enseignements dispensés ne peuvent faire l'objet d'une mise en ligne sur internet et que les mises à jour, faites dans le cadre des séances du DEA, ne sont pas toujours effectuées sur le site internet. Les pages indiquées ci-dessous sont donc le plus souvent des archives et non pas les cours effectivement dispensés.
 
INTRODUCTION A L'ANALYSE SPATIALE
  • Chapitre 0 : Qu'est-ce que l'analyse spatiale ? (2001)
ANALYSE SPATIALE DES PHENOMENES DE REPARTITIONS ANALYSE SPATIALE DES PHENOMENES D'INTERACTION
  • Chapitre 3 : Les modèles de position (2001)


ANALYSE SPATIALE DES PHENOMENES DE DIFFERENCIATION

  • Chapitre 6 : Analyse multiscalaire des distributions spatiales (2001)

OBJECTIFS DE LA FORMATION

 
     
    Cet enseignement destiné à des étudiants de géographie ou de sciences sociales de niveau DEA vise à leur fournir  un certain nombre d'outils conceptuels et méthodologiques permettant de décrire ou de modéliser l'inscription des phénomènes sociaux dans l'espace. Mais il se propose moins de passer en revue l'ensemble des outils d'analyse spatiale que d'apprendre aux étudiants à critiquer les outils existants, à vérifier leur adéquation aux problématiques de la géographie humaine ou plus généralement des sciences sociales. Cette analyse critique du corpus méthodologique de l'analyse spatiale montre qu'il ne faut pas hésiter, en cas de besoin, à créer de nouveaux outils si ceux qui sont traditionellement utilisés n'apportent pas de réponses satisfaisantes aux questions posées par le chercheur. Les trois objectifs princpaux de la formation sont donc : 
     
     
    • Dialogue entre concepts et outils : Les étudiants doivent apprendre à pratiquer un double cheminement qui ira soit des outils au concepts (examen des significations possibles d'une mesure statistique ou mathématique dans le champ propre de la géographie et des sciences sociales), soit des concepts aux outls (définition d'une problématique et recherche des outils ou des méthodes apportant la réponse la plus adaptée) en s'efforçant dans tous les cas de vérifier l'adéquation entre les outils et les concepts. Ce travail sera mené soit à l'aide d'exemples théoriques simples fournis par l'enseignant, soit par une lecture critique de travaux de recherche existants.
    • Définition de familles de concepts et d'outils : Le travail analytique de déconstruction-reconstruction des outils de mesure doit amener l'étudiant à découvrir l'existence de familles d'outils et de familles de concepts. Dans le premier cas, la cohésion d'une famille est d'ordre statistique et mathématique (outils mobilisant la même information et/ou testant la même hypothèse) alors que dans le second elle est d'ordre théorique (concepts apportant des éclairages différents sur une même notion ou sur un même champ de recherche). Ce travail sur les familles d'outils et de concepts doit permettre à l'étudiant d'élargir à la fois sa connaissance des outils et sa connaissance des concepts de géographie et de science sociale. Elle doit, par là-même, faciliter la recherche d'une meilleure adéquation entre les uns et les autres lorsqu'il se trouve confronté à un problème de recherche précis. En effet l'inadéquation entre concepts et outils de mesure est le plus souvent la conséquence d'une connaissance imparfaite de l'un ou l'autre de ces champs qui aboutit à une tentative de "forcer" le concept ou la mesure.
    • Proposition d'un cadre théorique général d'analyse spatiale des faits sociaux : Il est essentiel qu'à la fin du cycle d'enseignement l'étudiant soit à même de proposer une vision d'ensemble des familles d'outils et de concepts qu'il aura été amené à découvrir et à classer. Ce tableau général croisant les outils et les concepts pourra être élaboré de différentes façons par chaque étudiant en fonction de ses préoccupations scientifiques et il pourra comporter des cases vides indiquant la présence d'outils de mesure dont les significations conceptuelles en géographie et en science sociale ne sont pas encore clairement établies, ou bien des concepts et des problématiques pour lesquelles on ne dispose pas de formalismes clair permettant la mesure et la comparaison. Le tableau proposé par l'enseignant pour classifier les outils d'analyse spatiale des faits sociaux ne constituera qu'une proposition de mise en ordre que chaque étudiant pourra amender, adapter ou modifier.

EVALUATION DE LA FORMATION
 
 
L'évaluation de la formation des étudiants dans le cadre de cet enseignement est  effectuée à travers la réalisation d'un projet réalisé individuellement ou collectivement (au plus deux étudiants par projet). Une liste de projet est  proposée aux étudiants ou groupes d'étudiants, l'enseignant se réservant toutefois la possibilité de vérifier si l'étudiant ou les étudiants souhaitant traiter un sujet disposent des compétences requises (surtout dans le cas ou le projet émane d'une institution extérieure au DEA ATEG). Des étudiants peuvent éventuellement proposer un sujet de projet spécifique, sous réserve de l'accord des enseignants responsable de la formation à la modélisation. 

Le projet remis aux étudiants au début du mois de janvier comportera un ensemble d'informations (données statistiques, fonds de carte, références bibliographiques) et une question d'ordre très général dont la réponse implique l'emploi d'outils et de méthode qui ne seront pas explicitement précisées. Le travail consistera en quatre étapes
 

  • Etape 1 : préciser la problématique, c'est-à-dire à spécifier la question d'ordre général et à la décomposer en une série de questions plus précise s'enchaînant selon un ordre logique. Indiquer les hypothèses a priori (résultats attendus). 
  • Etape 2 : recenser les outils, méthodes, ou modèles qui permettent de répondre aux différentes étapes de la recherche et à sélectionner ceux qui semblent le plus adaptés à la problématique retenue.
  • Etape 3 : traiter l'information à l'aide des outils retenus, examiner les résultats obtenus, proposer éventuellement de nouveaux outils si les premiers se révèlent inadapatés (retour à l'étape 2) ou suggérer de nouvelles questions (retour à l'étape 1).
  • Etape 4 : conclure en indiquant les principaux résultats obtenus et les questions qui demeurent non résolus. Ne pas hésiter à mentionner les fausses pistes (outils inadaptés) et les contradictions (résultats contraires aux hypothèses initiales). 
La remise du projet  prend la forme d'un rapport de dix à vingt pages, éventuellement complété par des annexes.

La date de remise du projet est fixée à la semaine précédant les vacances de Pâques pour les étudiants qui souhaitent soutenir leur DEA à la session de Juin et à la première semaine de septembre pour ceux qui souhaitent soutenir leur DEA à la session de  septembre. 

Une assistance est fournie aux étudiants par les enseignants de modélisation du DEA ATEG et/ou par la personne qui aura proposé le projet. Certains projets pourront en effet avoir été proposés par des enseignants chercheurs ne dispensant pas de cours dans le DEA ATEG ou par des membres d'institutions publiques ou privées (Ministères, INSEE, INED, etc).

La notation des projets est effectuée par deux personnes différentes, dont une au moins sera membres du corps enseignant du DEA ATEG. 
 


 

BIBLIOGRAPHIE (1998 ... non mise à jour depuis )
 
 
Ne sont indiqués ici que des ouvrages d'ordre généraux ou des articles fondamentaux traitant de plusieurs des questions dispensées dans le cadre de l'enseignement dispensé par Claude GRASLAND sur l'analyse spatiale des faits sociaux. Des bibliographies plus spécifiques accompagnent chaque séance et sont indiqués en annexe des chapitres du cours correspondants.

Problématique générale des sciences sociales
 

  • Bachelard G., 1989, La formation de l’esprit scientifique, Vrin, Paris
  • Foucault M., 1969, L’archéologie du savoir, NRF, Paris
  • Moles A., 1995, Les sciences de l’imprécis, Points-Sciences, Seuil, Paris, 360 p
  • Popper K.R., 1978, La logique de la découverte scientifique, Payot, Paris
  • Wallisser B., 1977, Systèmes et modèles - Introduction critique à l’analyse des systèmes, Seuil, Paris, 248 p. 
  • Weber M., 1987 (1919), « Wissenschaft als Beruf », in Weber M., 1987, Le savant et le politique, Paris, 10-18.
  • Wittgenstein L., 1961, Tractatus logico-philosophicus, Tel-Gallimard, Paris
Concepts de la géographie
  • Auriac F., 1983, Système économique et espace, Economica, Paris 
  • Bailly A., Ferras R., Pumain D. (eds), 1992, Encyclopédie de Géographie, Economica, Paris
  • Brun J., Rhein C. (eds), 1994,  La ségrégation dans la ville, L’Harmattan, Paris
  • Brunet R., 1967 (1965), Les phénomènes de discontinuité en géographie, Collection Mémoires et documents du C.R.D.C.G., vol. 7, CNRS, Paris.
  • Brunet R., 1990, Géographie Universelle, tome I : Mondes Nouveaux, 1ere partie : Le déchiffrement du monde, Hachette-Reclus, Paris, pp. 9-271
  • Brunet R., Auriac F., 1986, Espaces, jeux et enjeux, Fayard-Diderot, Paris.
  • Brunet R., Ferras R., Théry H., 1992,  Les mots de la géographie - dictionnaire critique, Reclus-Documentation Française, Paris & Montpellier
  • Bunge W., 1966, Theoretical Geography, Lund Studies in Geography, ser. C., n°1, 289 p.
  • Febvre L., 1922, La Terre et l’évolution de l’humanité, coll. Evolution de l’Humanité (1970),
  • George P., 1970, Dictionnaire de la géographie, PUF, Paris, p. 278
  • Gourou P., 1973, Pour une géographie humaine, Flammarion, Paris. 
  • Harvey D., 1969, Explanation in Geography, London, Arnold
  • Harvey D., 1973, Social Justice and the City, London, Arnold.
  • Maurel M.C., 1984, « Pour une géopolitique du territoire : le maillage politico-administratif », Hérodote, 33-34, pp. 131-143
  • Mucchielli L., Robic M.-C., 1996, « La morphologie sociale selon Durkheim : entre sociologie et géographie », in Muchhielli L. & Bolandi M. (eds), La sociologie et sa méthode. Les règles de Durkheim un siècle après, Paris, L’Harmattan, pp. 101-136.
  • Raffestin C., 1978, "Les construits en géographie humaine : notions et concepts", Géopoint 1978, Univ. de Lyon II, Lausanne et Genève, pp. 55-73
  • Raffestin C., 1980, Pour une géographie du pouvoir, Litec, Paris, 249 p.
  • Raffestin C., 1997, « Foucault aurait-il pu révolutionner la géographie humaine », in. Franche D. & al. (eds.), Au risque de Foucault, Centre Georges Pompidou, Paris, pp. 141-149
  • Ratzel F., 1987 (1897, 1923), La Géographie Politique - les concepts fondamentaux, Fayard, Paris.
  • Reymond H., 1981, « Une problématique pour la géographie : plaidoyer pour une chorotaxie expérimentale », in Isnard H., Racine J.B., Reymond H., Problématiques de la géographie, Paris, PUF
  • Rhein C., 1982, « La géographie : discipline scolaire et/ou science socilae », Revue Française de Sociologie, XXIII, 2, pp. 223-251.
  • Sack R.D., 1983, « Human territoriality : a theory », Annals of the Association of American Geographers, 73, 1, pp. 55-74.


Analyse spatiale & statistique spatiale
 

  • Bailly A., Ferras R., Pumain D. (eds), 1992, Encyclopédie de Géographie, Economica, Paris
  • Beguin H., 1979, Méthodes d’analyse géographique quantitative, Litec, Paris, 253 p.
  • Berry B.J.L., 1971, Comparative Factorial Ecology, Economic Geography (n° spécial), vol. XXXXVII, n°2.
  • Charre J., 1995, Statistique et territoire, Reclus-Espace modes d’emploi, Montpellier, 119 p.
  • Cliff A., Ord J., 1973, Spatial Autocorrelation, London, Pion.
  • Fotheringham A.S., O’Kelly M.E., 1989, Spatial Interaction Models : Formulations and Applications, Kluwer Academic Publishers, London, 221 p.
  • Hägerstrand T., 1952, « The propagation of innovation waves », Lund Studies in Geography, série B, n° 4
  • Hägerstrand T., 1953, Innovation diffusion as a spatial process, Translation by A. Pred, 1967, University of Chicago Press
  • Oppenshaw S., 1981, « Le problème de l’agrégation spatiale en géographie », Espace Géographique, n°1, pp. 15-24.
  • Raynal L., Dumolard P., d’Aubigny G., & al., 1996, « Gérer et générer des données spatiales hiérarchisées », Revue internationale de géomatique, 6, 4, pp. 207-223. 
  • Rhein C., 1994, « La ségrégation et ses mesures », in. Brun J.& Rhein C. (eds), La ségrégation dans la ville, L’Harmattan, Paris, pp. 121-161.
  • Rushton G.,1993,  Human behavior in spatial analysis, Urban Geography, 5, pp. 447-456
  • Saint-Julien T., 1985, La diffusion spatiale des innovations, Reclus-Mode d’emploi, Montpellier, France, 37 p.
  • Sanders L., 1990, L’analyse statistique des données en géographie, Alidade-Reclus, Montpelleier, 267 p.
  • Stewart J.Q., 1942, Empirical mathematical rules concerning the distribution and equilibrium of population, Geographical Review, 48, pp. 461-485. 
  • Stilwell J. & Congdom P. (eds), 1992, Migration models : macro and micro approaches, Belhaven Press, London & N.Y, 330 p. 
  • Taaffe E.J., 1993, « Spatial analysis : development and outlook », Urban Geography, 5, pp. 422-433
  • Taylor P.J., 1977, Quantitative Methods in Geography. An Introduction to Spatial Analysis, Waveland Press Inc, Prospect Heights, Illinois
  • Tricot C., 1988, Statistique spatiale, Brouillons Dupont, 15, Avignon
  • Voiron C., 1995, Analyse spatiale et analyse d’images, Espace mode d’emploi, Reclus, Montpellier, 190 p.


Mathématiques et statistiques (non spatiales)
 

  • Caillez F., Pagès J.-P., 1976, Introduction à l’analyse des données, SMASH, Paris
  • Kaufman A., 1973, Introduction à la théorie des sous-ensembles flous. Tome 1 :  éléments théoriques de base, Masson, Paris.
  • Kendall M.G., Yule G.U., 1950, An Introduction to the Theory of Statistics, London, Griffin.
  • Mandelbrot B., 1984, Les objets fractals, 2e édition, Flammarion, Nouvelle Bibliothèque Scientifique


Sociologie et morphologie sociale
 

  • Blau P.M., 1956, « Social Mobility and interpersonal relations », American Sociological Review, XXI, pp. 290-295
  • Blau P.M., 1957, « Formal organisation : dimensions of analysis », The American Journal of Sociology », LXIII, pp. 58-69. 
  • Blau P.M., 1977, Inequality and heterogeneity, New York, Free Press.
  • Blau P.M., 1993, « Multilevel Structural Analysis », Social Networks, 15, pp. 201-215.
  • Blau P.M., Schawartz J.E., 1984, Crosscutting Social Circles, Orlando, Academic Press. 
  • Boudon R., 1965 (1970), L’analyse mathématique des faits sociaux, Plon, Paris
  • Bourdieu P., 1980, Questions de Sociologie, Editions de Minuit
  • Degenne A., Forsé M., 1994, Les réseaux sociaux, Masson, Paris
  • Duncan O.D., Duncan B., 1955, A methodological analysis of segregation indexes, American Sociological Review, vol. XX, pp. 210-217
  • Durkheim E., 1895 (1993), Règles de la méthode sociologique, Quadrige-PUF, Paris
  • Durkheim E., 1995 (1897), Le Suicide, PUF-Quadrige
  • Ethington P.J., 1997, « The intellectual construction of ‘social distance’ : toward a recovery of Georg Simmel’s Social Geometry », Cybergéo, n°30, 20 p. [http ://www.cybergeo.presse.fr]
  • Grafmeyer Y., 1994, Sociologie urbaine, Nathan Université, 1994.
  • Granovetter M.S., 1973, « The strength of weak ties », American Journal of Sociology, 78, 1360-1380
  • Lazarsfeld P., 1970 (1961), « Notes sur l’histoire dela quantification en sociologie : les sources, les tendances, les grands problèmes », in Philosophie des sciences sociales, Paris, Gallimard.
  • Mendras H., Forsé M., 1991, Le changement social : tendances et pardigmes, Colin-U, Paris
  • Park R., 1924, « The concept of social distance as applied to the study of racial attitudes and racial relations », Journal of Applied Sociology , 8 :6, pp. 339-344.
  • Simmel G., 1894, Le problème de la sociologie, in Sociologie et Epistémologie, PUF, 1981
  • Simmel G., 1896-1897, « Comment les formes sociales se maintiennent »  in Sociologie et Epistémologie, PUF, 1981
  • Simmel G., 1925 (1908),  Soziologie, Leipzig, Duncker and Humboldt
  • Stouffer S.A., 1940, « Intervening opportunities : a theory relating mobility and distance », American Sociological Review, V, pp. 845-867. 
  • Stouffer S.A., 1960, « Intervening opportunities and competing migrants », Journal of Regional Science, 2, pp. 1-26
  • Stouffer S.A., 1962, Social reserach to test ideas, Glencoe, Ill., The Free Press. [compilation d’articles incluant les deux précédents pp. 69-91 et 91-112]
Economie spatiale & science régionale
 
  • Derognat I., 1992, « Comportement de déplacement dans un espace économique subjectif », Cahiers scientifiques du transport, 26, pp. 21-30.
  • Derognat I., Maurice-Baumont C., 1992, « Formalisation imprécise de la distance cognitive », Table ronde de l’A.S.R.D.L.F. « Les concepts en analyse spatiale », Chamonix, 6-8 Jan. 1992., 27 p.
  • Fustier B., 1977, « Les interactions spatiales », in Ponsard C., Analyse économique spatiale, Chap. 5, pp. 193-230
  • Ponsard C., 1988, « Fuzzy Mathematical models in Economics », in Fuzzy Sets and Systems, 28, 273-283
  • Ponsard C., Tranqui P., 1982, « La régionalisation floue de l’économie européenne », R.E.P.,
Histoire
 
  • Guerreau A., 1996, Pour une statistique historique, C.R.H. / E.H.E.S.S., inédit, 37 p. [manuscrit communiqué par l’auteur]
  • Nordman D., Revel J., 1989, « La formation de l’espace français », in. Burguière A., Revel J. (eds), Histoire de la France, tome I : L’espace français, pp. 33-175.
  • Veyne P., 1978, Comment on écrit l’histoire, suivi de Foucault révolutionne l’histoire, Seuil, Paris.